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dc.contributor.authorGraham, Janice
dc.contributor.authorJones, Mavis
dc.date.accessioned2019-05-21T12:48:27Z
dc.date.available2019-05-21T12:48:27Z
dc.date.issued2010
dc.identifier.citationGraham, J., & Jones, M. (2010). Rendre évident: une approche symétrique de la réglementation des produits thérapeutiques. Sociologie et Sociétés, 42(2), 153-180.en_US
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/10222/75688
dc.descriptionThe main text of this article is in French.en_US
dc.description.abstractENGLISH: Within the social studies of science, risk regulation regimes dominated by a technocratic approach are critiqued for neglecting public, socially situated epistemological standpoints, which, it is argued, are more capable of articulating real world concerns and implications of risk. This critique appears to have been tackled through regulatory modernization in several nations, where strategic efforts are being advanced to open up, enable scrutiny and solicit input into decision-making from a broad range of citizens. While we agree that the evidence for risk regulation could benefit from accommodating more ways of knowing (particularly types of knowledge that have a history of being neglected), we argue that it is not only ‘lay’ public knowledges, but also ‘expert’ scientific ones which become neglected in modern risk regulation regimes. In this paper, we draw upon a specific case — modernization in the Canadian health products regulator — to examine the evolving role and nature of evidence. We draw from our own ethnographic research and the relevant literature (risk and regulatory science, boundary work, and symmetrical anthropology) to suggest a symmetrical approach to evidence-based risk regulation. FRENCH: Dans le champ des études sociales de la science, les régimes de régulation du risque appréhendés selon une approche technocratique sont critiqués pour leur attention insuffisante au « public », point de vue épistémologique socialement situé qui pourtant est davantage en mesure d’articuler les préoccupations du monde réel aux implications (collectives) du risque. Il semble qu’on ait répondu à cette critique dans plusieurs pays en modernisant les réglementations et en déployant des efforts stratégiques pour susciter l’ouverture, permettre un examen approfondi et encourager un large éventail de citoyens à s’impliquer dans le processus décisionnel. Tout en reconnaissant que le régime de preuves dans la réglementation du risque aurait grandement avantage à prendre en compte une plus grande diversité de types de savoir (notamment les connaissances qui ont été historiquement négligées), nous soutenons que ce ne sont pas seulement les savoirs publics « profanes », mais aussi les savoirs scientifiques « experts » qui tendent à être négligés dans les régimes modernes de réglementation du risque. Le présent article part d’un cas spécifique — la modernisation de la régulation des produits de santé canadiens — pour rendre compte de l’évolution de la nature et du rôle de l’évidence médicale. En nous appuyant sur une recherche ethnographique et sur la littérature consacrée (science du risque et de la régulation, travaux autour des frontières et anthropologie symétrique), nous proposons une approche symétrique de la réglementation du risque basée sur la production d’un régime de preuves.en_US
dc.publisherÉruditen_US
dc.relation.ispartofSociologie et Sociétésen_US
dc.titleRendre évident: une approche symétrique de la réglementation des produits thérapeutiquesen_US
dc.typeArticleen_US
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