Primary production of two small lakes in Atlantic Canada
Abstract
At Layton’s lake, Nova Scotia, the total annual primary production was estimated to be 182 gC m<sup>-2</sup> y<sup>-1</sup> of which 87 gC m<sup>-2</sup> y<sup>-1</sup> was planktonic production. Macrophyte production accounted for the additional 95 gC m<sup>-2</sup> y<sup>-1</sup>.The macrophytes appeared to be inhibitory to the phytoplankton during the summer growing season, as indicated by the low chlorophyll-a concentrations. Total phosphorus and maximum chlorophyll-a concentrations were the best trophic indicators, suggesting that Layton’s lake is eutrophic. Long Lake, New Brunswick, had an estimated annual primary production of 36.4gC m<sup>-2</sup> y<sup>-1</sup> due solely to phytoplanktonic production. Variations in daily areal production values could be explained largely by variations in surface insolation and flow rate. Neither total phosphorus concentration or chlorophyll-a concentration were good trophic indicators. It is suggested that peak chlorophyll-a concentration is the best trophic indicator for long lake, resulting in borderline oligotrophic-mesotrophic classification. Au lac Layton en Nouvelle Ecosse, la production totale annuelle primaire a été évalué à 182 gC m<sup>-2</sup> a<sup>-1</sup> dont 87 gC m<sup>-2</sup> a<sup>-1</sup> a été la production planktonique. La production macrophytique explique la 95gC m<sup>-2</sup> a<sup>-1</sup> de production en plus. Les macrophytes paraissent être inhibitoires aux phytoplanktons pendant la période de croissance estival, comme indiqué par le bas niveau de la chlorophylle-a. Le taux de phosphore totale et la concentration maximale de la chlorophylle-a ont été les meilleurs indices trophiques et suggèrent que le lac Layton est eutrophique. La production annuelle primaire du lac Long au Nouveau Brunswick à été évalué à 36.4 gC m<sup>-2</sup> a<sup>-1</sup> attributable entièrement à la production phytoplanktonique. Les variations journalières dans les valeurs de productions d’aire peuvent être expliquées par les variations dans l’ensoleillement de la surface du lac et dans le débit d’eau. Ni les taux totales de phosphore ni la concentration en chlorophylle-a sont de bons indices trophiques. On suggère que la concentration maximale en chlorophylle-a est le meilleur indice trophique pour le lac Long et mene a une classification oligotrophique-mésotrophique.
Citation
Howell, G.D. (1987). Primary production of two small lakes in Atlantic Canada. Proceedings of the Nova Scotian Institute of Science, 37(2), 71-88.